Nous avons mis des hommes dans l’espace. Nous envoyons maintenant des ordinateurs apprenants, des robots sémantiques, dans le passé.
Le magazine Nature publie un article sur la Venice Time Machine, déploiement complexe de logiciels et de processus de dépouillement et de recherche, à l’initiative de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Les historiens ne se tiennent plus (ils sont de leur propre aveu practically salivating), les Vénitiens ont le sentiment de voir leurs cimetières s’ouvrir, et les informaticiens jubilent.
Que se passe-t-il exactement ?